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CHAPITRE 52 — L'EDUCATION

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CHAPITRE 52

L'EDUCATION

 

1. Dans le monde de l'éducation, une compréhension de la vraie nature de l'homme va apporter un changement fondamental dans les méthodes d'enseignement. L'accent sera mis sur l'enseignement du fait de l'Ego sur son propre plan, sur la nature des corps lunaires, sur les méthodes d'alignement des corps inférieurs afin que l'Ego puisse communiquer directement avec le cerveau physique et donc gouverner la nature inférieure et exécuter ses desseins. On enseignera aux hommes comment, par la concentration et la méditation, ils peuvent vérifier la connaissance eux-mêmes, comment ils peuvent développer l'intuition et ainsi puiser dans les ressources de l'Ego. Puis on enseignera aux hommes à penser, à assumer la maîtrise du corps mental et ainsi à développer leurs pouvoirs latents (3-686).

 2. La vraie éducation est, en conséquence, la science qui relie les parties intégrantes de l'homme, le reliant aussi à son tour à son entourage immédiat, puis au grand tout dans lequel il a un rôle à jouer. Chaque aspect, envisagé en tant qu'aspect inférieur, peut toujours n'être que l'expression de l'aspect qui lui est directement supérieur. Dans cette phrase, j'ai exprimé une vérité fondamentale qui, non seulement comporte l'objectif, mais indique aussi le problème de tous ceux qui s'intéressent à l'éducation. Ce problème est d'évaluer correctement le centre, ou point focal de l'attention de l'homme, et de noter où la conscience est principalement centrée. Puis il doit être instruit de telle manière que le transfert de ce point focal dans un véhicule supérieur devienne possible.

Nous pouvons aussi exprimer cette idée d'une manière également vraie en disant que le véhicule, qui semble d'importance majeure, puisse et doive devenir d'importance secondaire, à mesurer qu'il devient simplement l'instrument de celui qui lui est directement supérieur (12-5/6).

 3. Réceptivité au Penseur ou âme. Lorsqu'il enregistre cette réponse, l'homme pénètre dans son règne. Ce qui est en haut et ce qui est en bas ne font plus qu'un. Le monde objectif et le monde subjectif sont unifiés.

L'âme et son mécanisme fonctionnent comme une unité.

 C'est vers cette consommation que toute éducation devrait tendre (12-11).

 4. Les Atlantéens n'avaient pas de système d'éducation, tel que nous l'entendons. Les rois et les prêtres agissaient par intuition ; les masses obéissaient (12-35).

 5. Le monde est un grand creuset d'où l'Humanité Une est en train d'émerger. Ceci impose un changement radical de ces méthodes de présentation de l'histoire et de la géographie. La science a toujours été universelle. Le grand art et la littérature ont toujours appartenu au monde entier. C'est sur ces faits qu'il faut construire l'éducation à donner aux enfants, éducation basée sur les ressemblances, les réalisations dans la création, les idéalismes spirituels et les points de contacts. Si on ne le fait pas, les plaies des nations ne seront jamais guéries, et les barrières qui ont existé depuis des siècles ne disparaîtront jamais (12-40).

 6. Deux idées majeures doivent être enseignées aux enfants de tous les pays. Ce sont : la valeur de l'individu et le fait de l'humanité une (12-41).

 7. Le premier effort de l'éducation pour civiliser l'enfant sera d'exercer et de diriger intelligemment ses instincts.

 La seconde obligation de l'éducateur sera de le faire parvenir à la vraie culture en l'entraînant à utiliser correctement son intellect.

 Le troisième devoir sera de susciter et de développer l'intuition.

 Quand ces trois aspects seront développés et fonctionneront, on aura un être humain civilisé, cultivé, éveillé spirituellement, un homme aux instincts justes, à l'intelligence solide, à l'intuition consciente. Son âme, son mental et son cerveau fonctionneront comme ils le doivent, en justes relations réciproques, ce qui, de plus, produira la coordination et l'alignement correct (12-43).

 8. L'un de nos objectifs immédiats de l'éducation doit être d'éliminer l'esprit de compétition et d'y substituer la coopération consciente (12-64).

 9. Quel devrait être l'effort des parents et des éducateurs ? … Tout d'abord et par-dessus tout, il faudrait faire l'effort d'assurer une atmosphère où certaines qualités peuvent apparaître et s'épanouir.

 1. Une atmosphère d'amour, d'où la peur est bannie, où l'enfant comprend qu'il n'a pas lieu d'être timide ou sur ses gardes, où il est traité courtoisement par les autres, et où l'on attend de lui, en retour, des manières également courtoises... L'amour suscite toujours le meilleur chez l'enfant et chez l'homme.

 2. Une atmosphère de patience où l'enfant peut se mettre à chercher, normalement et naturellement, la lumière de la connaissance ; où il est sûr de trouver toujours une réponse rapide et sérieuse à ses questions, et où n'existe jamais l'impression de hâte... Cette impatience de la part de ceux dont il dépend de manière si émouvante sème les graines de l'irritation ; beaucoup de vies sont gâchées par l'irritation.

 3. Une atmosphère d'activité ordonnée où l'enfant peut apprendre les premiers rudiments de la responsabilité. Les enfants qui viennent en incarnation actuellement et qui peuvent bénéficier du nouveau type d'éducation sont nécessairement au bord de la conscience de l'âme. L'une des premières indications de ce contact de l'âme est le sens de la responsabilité qui se développe rapidement. Il faut garder cela soigneusement à l'esprit, car le fait de se charger de petits devoirs et de partager les responsabilités (ce qui se rapporte toujours à quelque forme de relation de groupe) est un facteur puisant dans la détermination du caractère de l'enfant et de sa future vocation.

 4. Une atmosphère de compréhension où l'enfant est toujours sûr que les raisons de ses actions seront reconnues, et que les adultes qui vivent avec lui comprendront toujours le motif de ses impulsions, même s'ils n'approuvent pas ce qu'il a fait, ou ses activités...

 C'est l'ancienne génération qui entretient dès le début, chez l'enfant, un sens de culpabilité, de péché et de mauvaise action, complètement inutile.

On insiste tellement sur les petites choses mesquines, qui ne sont pas vraiment mal, mais agaçantes pour les parents ou l'enseignant, que le vrai sens du mal (à savoir, reconnaître que de bonnes relations n'ont pas été maintenues avec le groupe) se trouve masqué et non reconnu pour ce qu'il est. Les nombreux petits péchés, imposés à l'enfant par la constante répétition du "Non", par l'emploi du terme "vilain", et basés sur le fait que les parents ne savent ni comprendre, ni occuper leur enfant, n'ont pas vraiment d'importance. Si ces aspects de la vie de l'enfant sont correctement pris en main, ce qui est mal, la violation du droit des autres, l'empiétement du désir individuel sur les nécessités et les conditions du groupe, le tort ou le dommage fait aux autres à des fins de gain personnel, apparaîtront en une juste perspective et au moment voulu (12-64/67).

 10. A l’avenir, l'éducation utilisera beaucoup plus largement la psychologie que précédemment (12-72).

 11. Il faut donc élaborer un meilleur système d'éducation, qui présentera des possibilités de vie humaine de manière que les barrières soient abattues, les préjugés écartés, et l'entraînement donné à l'enfant apte à lui permettre, lorsqu'il sera adulte, de vivre avec les autres hommes dans l'harmonie et la bonne volonté. Cela peut être réalisé si l'on développe la patience et la compréhension, et si les éducateurs comprennent que "là où il n'y a pas de vision, le peuple périt" (12-75).

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