N G S M . E U

LES NOUVEAUX GROUPES DES SERVITEURS DU MONDE

Font Size

SCREEN

Cpanel

CHAPITRE 71 — LES GLANDES

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives
 

CHAPITRE 71

LES GLANDES

 

1. Les causes déterminantes chez l'homme, celles qui font de lui ce qu'il est, ce sont les glandes. Elles sont les extériorisations des types de forces provenant des mondes d'existence plus subtils, et qui affluent par les centres éthériques. Ces forces dénotent le point d'évolution atteint par l'homme. Elles sont vitales et actives, ou non vitales et inactives, selon l'Etat des Centres. Elles manifestent une activité suffisante, excessive, ou insuffisante selon la condition des tourbillons éthériques (17-38).

 2. Quand il n'y a pas libre jeu entre le corps éthérique et le corps physique, y compris les ganglions nerveux et le système endocrinien, il se produit également des congestions.

 Il ne faut jamais oublier la relation étroite existant entre les sept centres majeurs et les sept glandes majeures du système physique. Les deux groupes sont intimement imbriqués en un système directeur où les glandes et leurs fonctions sont déterminées par l'état des centres éthériques. A leur tour, ceux-ci sont conditionnés par le point d'évolution et l'expérience acquise par l'âme au cours de ses incarnations, par la polarisation spécifique de l'âme en incarnation, et par les rayons caractérisant la personnalité et l'âme du sujet...

 La nouvelle science médicale sera principalement édifiée sur la science des centres, et c'est sur cette connaissance que l'on basera tous les diagnostics et toutes les cures possibles.

 L'endocrinologie moderne pressent fugitivement des possibilités. Bien des choses qu'elle étudie actuellement portent en elles les germes de la vérité future. "L'équilibrage du système glandulaire", la relation entre les glandes et le courant sanguin, leur influence sur le caractère et sur des prédispositions de toute nature sont des objets d'études fondamentaux et méritent qu'on s'y attache. Toutefois, il reste beaucoup à découvrir avant de pouvoir manier en toute sécurité le fonctionnement des glandes et y prêter attention par priorité. Mais le jour viendra où l'on soignera ainsi toutes les formes de maladie (17-62/3).

 3. Dans le corps médical moderne, on parle beaucoup de déséquilibre à des glandes endocrines, et l'on rattache de nombreux troubles physiques à ce fréquent désarroi. Mais à l'arrière-plan de cet état du système glandulaire gît le déséquilibre fondamental des centres eux-mêmes. Il faut d'abord évaluer correctement les forces, leur réception, et leur usage subséquent, pour aboutir à un juste équilibre et pour que le système endocrinien contrôle l'homme physique de la manière prévue (17-68).

 4. Comme on le sait, les centres régissent le système endocrinien, qui à son tour contrôle les sept zones majeures du corps physique, est responsable du fonctionnement correct de l'organisme entier, et produit des effets à la fois physiologiques et psychologiques (17-111).

 5. Le système endocrinien. Il est l'expression exotérique et tangible de l'activité du corps vital et de ses sept centres. Les sept centres de force se trouvent chacun à proximité de leur glande homologue. D'après l'enseignement ésotérique, chaque centre de force fournit puissance et vie à la glande correspondante, qui est en fait son extériorisation.

 Ces centres sont :

 1. Le centre de la tête.

 1. La glande pinéale.

 2. Le centre entre les sourcils.

 2. La glande pituitaire.

 3. Le centre laryngé.

 3. La glande thyroïde et les glandes parathyroïdes.

 4. Le centre cardiaque.

 4. Le thymus.

 5. Le centre du plexus solaire.

 5. Le pancréas.

 6. Le centre à la base de l'épine dorsale.

 6. Les capsules surrénales.

 7. Le centre sacré.

 7. Les gonades ou glandes sexuelles (15-382).

 6. L'étude actuelle des glandes est tellement élémentaire qu'elle mérite à peine le qualificatif d'embryonnaire, mais l'avenir enseignera la connexité des glandes avec les centres et suscitera de nombreux travaux expérimentaux.

 Du point de vue de l'ésotériste qui admet le fait de l'existence des centres, les glandes constituent par excellence le facteur déterminant de la santé générale d'un individu. Non seulement elles révèlent son développement psychologique bien mieux qu'on ne le saisit aujourd'hui, mais elles exercent un effet des plus puissants sur tout le système organique, ainsi d'ailleurs que la science médicale orthodoxe le soupçonne.

Leur influence via le courant sanguin s'étend à toutes les parties du corps, y compris les extrémités. Les glandes sont le produit de l'activité des centres. En premier lieu, en dernier lieu, et constamment, elles sont les effets de causes intérieures prédisposantes. C'est par l'intermédiaire des centres et de leurs glandes connexes que l'âme édifie sur le plan physique l'appareil que nous appelons l'homme en chair et en os (17-161/2).

 7. Le système endocrinien ou glandulaire est relié aux centres et modèle strictement son activité sur leurs vibrations. Durant l'incarnation, la vie ou énergie se répand par ce système, soit sans obstacles et selon une juste gouverne dans le cas des hommes hautement évolués, soit en rencontrant des obstacles et en étant imparfaitement dirigée dans le cas de l'être humain moyen ou peu développé. Par ce système de contrôle glandulaire, la forme humaine répond ou ne répond pas aux énergies du monde qui l'entoure.

 D'après notre présent thème de guérison, un homme peut être malade et déficient, ou vigoureux et bien portant selon l'état de ses centres et de leurs précipités, les glandes. Il faut toujours se rappeler que les centres sont l'agencement majeur sur le plan physique par lequel l'âme s'active, et exprime vie et qualité selon le point atteint dans le processus de l'évolution. Le système glandulaire n'est qu'une expression inéluctable des centres par lesquels l'âme se manifeste. Les glandes expriment donc pleinement le point d'évolution de l'homme, et selon ce point, elles sont responsables soit de défauts et de limitations, soit d'avantages et de perfections atteintes.

 La conduite et le comportement d'un homme sur le plan physique sont conditionnés, contrôlés, et déterminés par la nature de ses glandes, et celles-ci sont conditionnées, contrôlées, et déterminées par la nature, la qualité, et la vitalité des centres. A leur tour, ceux-ci sont conditionnés, contrôlés, et déterminés par l'âme, de plus en plus efficacement à mesure que l'évolution progresse.

 Avant le contrôle par l'âme, les centres sont qualifiés, conditionnés, et contrôlés par le corps astral, et plus tard par la pensée. Le but du cycle évolutionnaire est de provoquer ce contrôle, ce conditionnement, et ce processus déterminant par l'âme. Les êtres humains se trouvent actuellement échelonnés à tous les degrés imaginables de développement au sein de ce processus.

 Une grande partie de ce qui précède est bien connue et offre un caractère de redite. Mais j'ai estimé indispensable de répéter l'histoire pour amener une nouvelle clarté dans la pensée (17-487/8).

 8. Il ne faut pas oublier que l'effet primordial de l'activité des glandes et de leurs sécrétions est d'ordre psychologique. Sur le plan psychique, un homme est émotionnellement et mentalement la pure conséquence du fonctionnement de son système glandulaire. Accessoirement, il l'est aussi physiquement, parce que ce sont fréquemment ses émotions et son état d'esprit psychologique qui détermine ce fonctionnement (17-489).

 9. La science médicale finira par découvrir une vérité dont elle a déjà le sentiment, à savoir qu'il est impossible de modifier fondamentalement la personnalité et l'équipement physique d'un homme en agissant sur les glandes elles-mêmes.

 La situation restera inchangée jusqu'au jour où la science médicale moderne reconnaîtra qu'en ce qui concerne les, glandes endocrines le monde des causes est le corps éthérique avec ses sept centres. Elle enregistrera alors le fait que tout travail relatif aux glandes doit se détourner des sept effets ou précipités tangibles des centres pour s'orienter vers les centres eux-mêmes.

 Les guérisseurs ne doivent donc pas s'occuper des glandes impliquées, mais directement du centre qui conditionne le "point de friction" et contrôle la région qui est sous son influence (17-489/90).

Vous êtes ici : Accueil REFLECHISSEZ-Y CHAPITRE 71 — LES GLANDES